Logement collectif
Ingetudes
La loi ALUR a intégré dans le contrat de bail type les notions d’immeuble collectif et individuel. Ces notions, qui ont des incidences sur les obligations des occupants sur le respect des règles de vie des immeubles, doivent être connues par les bailleurs.
Le logement collectif est un logement situé dans un bâtiment ou immeuble collectif dans lequel sont regroupées au moins deux habitations desservies par des parties communes, telles qu’un hall d’entrée, des escaliers, un ascenseur ou un sous-sol. Il s’oppose naturellement aux bâtiments individuels, c’est-à-dire les maisons, même si celles-ci font partie d’un lotissement. Ces derniers, même superposés à d’autres habitations, restent individuels dans la mesure où ils ne sont pas liés par des parties partagées entre les propriétaires.
Bâtiment industriel
Ingetudes
Un bâtiment industriel peut servir à des fins de stockage de biens ou de matériaux, d’élevage d’animaux ou de stockage de plantation, selon sa construction et/ou son aménagement. Concrètement, cela signifie qu’il peut avoir plusieurs fonctions et servir d’abri, d’atelier, de garage, de lieux de dépôt ou encore de bureaux.
Il n’y a en effet pas une utilité mais plusieurs, répondant aux besoins de l’acheteur, qui peut décider des matériaux utilisés, ainsi que des dimensions, que ce soit en hauteur ou en largeur.
Alliant solidité, sécurité et confort, un bâtiment industriel est avant tout une construction faite pour durer dans le temps grâce à des matériaux de qualité. En termes de matériaux, c’est essentiellement de l’acier galvanisé qui est utilisé, transformé en profilés résistants.
Bâtiment tertiaire
Ingetudes
En France, les bâtiments du secteur tertiaire représentent près de 940 millions de m2, dont 380 millions de m2 pour les bâtiments publics. Ces bâtiments ne représentent qu'un quart du parc des bâtiments existants. Toutefois, ils sont responsables, aujourd'hui, d'un tiers des consommations énergétiques finales et d'un tiers des émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur immobilier. Pour inverser la tendance et contribuer à l'atteinte de la neutralité carbone de la France, un décret impose aux gestionnaires de bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m² de réduire leur consommation d'énergie finale de 40 %, 50 % et 60 % respectivement en 2030, 2040 et 2050, par rapport à 2010 (ou une année de référence plus récente).